Fêlés, il faut l’être c’est sûr, pour se lancer en 2009 pour la traversée des Alpes, et en 2012 pour celle des Pyrénées !
Il faut un petit grain d’inconscience, l’envie de vivre de très bons moments de complicité mais aussi des journées un peu moins faciles avec les jambes lourdes et le postérieur en feu.
C’est la persistance d’une petite part de rêve, d’insouciance qui est resté ancrée au fond de nous malgré les années qui passent. Une petite lueur d’enfance posée sur un vélo et qui arpente de si belles routes bitumées.